tag:blogger.com,1999:blog-4603329861106773844.post6817973087420372034..comments2024-03-27T11:28:27.956+01:00Comments on C'est pas mon idée !: La refonte du cœur bancaire n'est pas une optionUnknownnoreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-4603329861106773844.post-46131583549573713102013-05-26T14:24:00.571+02:002013-05-26T14:24:00.571+02:00Il ne faut pas voir de révolution où il y en a pas...Il ne faut pas voir de révolution où il y en a pas : le mobile est moins révolutionnaire que le Minitel (on passe d'une opération humaine faite en agence à un mode télématique fait chez soi). Le smartphone, c'est faire au fur et à mesure ce qu'on pouvait faire chez soi, partout (avec des conditions de sécurité à revoir). Personellement, je ne vois pas de différences siginificatives dans l'automatisations de relations entre banque et utilisateurs depuis l'apparation des ces 2 objets que sont le distributeurs automatique et les applications bancaires par Minitel. Certaines appplications qu'on utilisait sur son PC (en téléchargeant ses comptes), ont été intégré directement sur le site de la banque. Pour ce qui est de changer toute l'informatique (la marotte des conseillers en informatique par nature interessés), tout système évolue et se complique et, à un certain moment, il faut savoir on continue à mettre sa voiture en réparation ou si on en achète une neuve (avec tous les bugs et les difficultés de migration et de réadaptation du personnel). Le monde bancaire, informatique et des télécommunications seront toujours en changement et donc, même si on refait tout maintenant, la question se reposera après la complexité recréée par les mutations de la législation, des demandes des employés, des marketeux et des clients, des fusions-acquisitions, des nouveaux domaines d'activité (assurance, téléphonie, etc ...), des développements internationaux, etc .... Quand à la prise de pouvoir des clients, c'est tout à fait le contraire : il n'y a jamais eu aussi peu de concurrence et on a jamais peu aussi peu discuté des conditions commerciales : les nouveaux "formatages" des employés de banque, de la législation, de leurs logiciels, de leur procédures et de leurs excroissance sur Internet ne sont pas fait pour cela. Sans concurrence, je ne vois pas pourquoi cela changerait (l'UE travaille pour cela, mais les nations ne veullent pas en entendre parler). La seule exception où un semblant de pouvoir a été donné à l'internaute est la Bourse Internationale (d'ou la disparition des bourses nationales). Cependant, quand vous allez au fond des choses, vous remarquerez que c'est un leurre et que c'est toujours les grands teneurs de marchés qui dirigent tout. Ceci dit, peut être que demain les choses changeront. Mais tout ce qui touche l'agent et sa circulation est fortement suivi par les gouvernements, qui mandatent des groupes privés, dont ils pensent avoir le contrôle direct ou indirect (par la législation et les administrations). A terme, je vois plus des modules informatiques unifiés, eventuellement au niveau européen et sous l'égide d'organismes paragouvernementaux (un logiciel, ce sont des lois automatisées, comme c'est déjà le cas pours les applications de impôts ou de la défense) et maintenus par des organismes privés. Par contre, les côté visible, soit les marques, les offres commerciales vont être plus variées et mieux adaptées. L'utilisation des informations clients par les commerçants (les banques sont des commerçants de l'argent) sont pratiquement nuls actuellement (saurf un peu Amazon).Anonymousnoreply@blogger.com